Le couvent des Capucins en photos
Reportage photo dans le couvent des Capucins de Romans-sur-Isère.
Oubliés depuis longtemps mais miraculeusement et consciencieusement préservés par les propriétaires des lieux, des vestiges du couvent des Capucins de Romans-sur-Isère s’offrent à nouveau à notre vue.
Cliquez ici pour lire l’histoire de la redécouverte de vestiges du couvent des Capucins !
Petit retour sur l’histoire de ce couvent :
Les Capucins sont un ordre mendiant de la famille des Franciscains dont le nom vient du capuchon (cappuccio) dont ils se couvraient la tête.
En 1610, la première pierre de l’église du couvent de Capucins est posée sur le coteau de Chapelier (aujourd’hui “clos des Capucins”), à l’emplacement de la citadelle qu’on venait de démolir et l’édifice est consacré le 19 août 1617 par Jean de La Croix, évêque de Grenoble.
Les bâtiments se composaient d’un corps de logis faisant face à l’Isère, d’une église spacieuse placée au nord, près de l’entrée, et d’une aile centrale se dirigeant vers l’ouest.
Au commencement de la Révolution, les Capucins de Romans étaient au nombre de dix : six prêtres, un clerc et trois frères lais. Plus heureux que les autres communautés de la ville, ils obtinrent un répit de près de deux années avant d’être définitivement dispersés. En 1794, on vendit la propriété en plusieurs lots. Un des acquéreurs fit démolir l’église et un autre abattre la belle allée de tilleuls.
Aujourd’hui, ce bâtiment est morcelé en plusieurs propriétés clôturées.
Sources : Archives municipales de Romans-sur-Isère – Notice historique sur le couvent des Capucins de Romans, Ulysse Chevalier, 1866.
Photographies, le 15 mai 2013, avec l’aimable autorisation de tous les propriétaires des lieux
Bonjour,
Il a été inhumé le 16 juin 1919 au cimetière militaire de Ploisy, Aisne, dans une tombe individuelle, numéro 28.
Voir ici : http://www.romanshistorique.fr/romans-sur-isere-georges-gustave-bouzigues-mort-pour-la-france-le-19-juillet-1918
j’aimerais savoir si les restes de Georges BOUZIGUES, cousin germain de mon Père, tué au combat en juillet 1918 ont été ensevelis avec ses Parents dans la tombe familiale.
merci pour votre réponse à l’adresse mail ci dessus.
Je suis très heureuse d’avoir des nouvelles de ce lieux. Je l’ai bien connu, surtout pendant la seconde guerre mondiale et cela me ferait un immense plaisir de le revisiter, surtout le jardin.
Merci aux propriétaires pour l’avoir protégé et à vous pour les recherches.
J. Perrot